Chose promise chose due. Roland Vilella, le Sétois marin voyageur écrivain, auteur du livre « La sentinelle de fer » a présenté son ouvrage vendredi 24 février 2017 en fin de soirée.
Il a pu bénéficier de la complicité des deux gérantes des deux librairies sises à Behoririka et au Water Front Ankorondrano. Ces dernières, engagées dans la vente de ce chef d’œuvre exceptionnel, ont facilité la réalisation de la rencontre entre l’auteur avec le public et la presse. Dame Voahirana Ramalanjaona, maitresse de céans, a ouvert la séance par la présentation de Michèle Rakotoson, de Roland Villella et de son impresario. Le public, très intéressé et très accroché par les explications offertes Michèle Rakotoson et par l’auteur en personne, a assidument participé au débat. Les questions et les critiques ont plu. Le seul regret de Vilella est le coût de « La sentinelle de fer ». La fixation du prix est le privilège de l’éditeur. Pour marquer son chagrin sur ce point, Roland n’a pas pu se retenir d’éventer une pensée très personnelle qui lui passe dans la tête : « J’ai envie de dire : volez le livre et lisez le ! ».
En tout cas, Vilella a promis qu’une fois de retour en France, il va se concerter avec l’éditeur pour étudier ensemble une révision du prix pour la population malgache. Par ailleurs, la traduction de « la sentinelle de fer » en langue malgache a été soulevée. En tous les cas, Vilella a pu s’acquitter de sa dette envers son ami Albert Abolaza le TFP (lire Travaux forcés à perpète).
Razaka Oliva
Voahirana Ramalanjaona présentant Michèle Rakotoson, Roland Vilella
Journalistes et étudiants ont marqué leurs intéressements.
Michèle Rakotoson exhortant Vilella à livrer les comment et pourquoi du livre
Les deux Didier de la Presse (Rambelo et Ramanoelina) ne sont pas en reste
La Kosovar-suissesse Fitore Daka demandant la dédicace de l’auteur
